| Registro completo |
| Provedor de dados: |
ArchiMer
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| País: |
France
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| Título: |
Diversification de la production : culture de palourdes sur estran, résultats années 84-85
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| Autores: |
Goulletquer, Philippe
Prou, Jean
Heral, Maurice
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| Data: |
1985-10
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| Ano: |
1985
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| Palavras-chave: |
Marennes Oléron
Mortalité
Biomasse
Croissance pondérale
Croissance linéaire
Biométrie
Elevage
Ruditapes philippinarum
Palourdes
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| Resumo: |
Following the development of net protection techniques (1980), Japanese clam Ruditapes philippinarum farms develop in the ponds of Charente-Maritime. The county production for 1984 is about 100 tonnes, for a turnover of 4.5 Million Francs. To this day, farmers cultivating clams in ponds over a full cycle get better growth results during the first year. The size of 24 mm is obtained with a density of 200 individuals per square metre. However, due to the type of water input in ponds and to the limited primary production developing in the latter, it appears that biomasses in farms during the second year should not be greater than 0.5 to 1 kg per m² (30 to 50 clams per m²). Thus, the development of clam culture in marsh areas comes to a halt, as farmers are limited by the surface of their farm and by the maintenance costs of the swamp.
Suite à la récente mise au point des techniques de protection sous filet (1980) les élevages de palourdes japonaises Ruditapes philippinarum se développent dans les claires de Charente-Maritime. La production de 1984 du département est d'environ 100 tonnes, représentant un chiffre d'affaires de 4,5 MF. Les éleveurs qui pratiquent jusqu'à ce jour le cycle complet d'élevage en claires obtiennent de bonnes performances de croissance de palourdes la première année. La taille de 24 mm est atteinte à une densité de 200 individus au m2. Toutefois en raison du type d'alimentation en au des claires ostréicoles et de la production primaire limitée qui s'y développe, il apparaît que les biomasses en élevage lors de la deuxième année ne doivent pas dépasser 0,5 à 1 kg au m2 soit 30 à 50 palourdes au m2. Ainsi le développement de la vénériculture en marais marque une pose car les éleveurs sont limités par les surfaces de leur exploitation et par le coût d'entretien du marais.
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| Tipo: |
Text
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| Idioma: |
Francês
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| Identificador: |
http://archimer.ifremer.fr/doc/1985/rapport-3840.PDF
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| Relação: |
http://archimer.ifremer.fr/doc/00000/3840/
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| Formato: |
application/pdf
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